Le titre l’indique : le tome 3 d’Amours fragiles se concentre sur l’histoire de Maria. Top ou flop ? 

Couverture Amours fragiles, tome 3 : Maria

Ni top, ni flop, mesdames et messieurs. J’ai moins aimé ce tome-ci que les deux premiers, mais je n’ai pas détesté non plus. J’étais moins dedans, et j’avoue avoir, de ce fait, beaucoup moins de choses à vous raconter.

Maria apparaît pour la première fois dans le deuxième tome. Beuriot et Richelle ont décidé de lui consacrer un tome (en excluant le tout début). Nous sommes en 1943, Maria est contre le régime nazi, et le fait savoir. Elle ne le crie pas sur tous les toits, elle se fait discrète mais communique beaucoup avec les gens qui ont les mêmes opinions qu’elle et distribuent des tracts. 

À sa façon, Maria est touchante. Ce n’est pas un personnage particulièrement important dans l’histoire, mais important pour l’Histoire. Je m’explique. Des personnes contre le régime nazi, il y en avait beaucoup. Savez-vous ce qu’ils risquaient ? Des horreurs. Maria, elle est là pour nous montrer la lutte, malgré les risques, malgré la peur. Elle défend un monde meilleur, au péril de sa propre vie. Une héroïne, vous dites ? 

Étant dans une période « panne de lecture », je lis un peu moins. Je ne vais reprendre le tome 4 qu’à partir de janvier. Son titre étant Katarina, je pense en apprendre plus sur elle et sur sa vie, et c’est tout ce que je demande !

À bientôt pour la suite ! 

54 pages. Éditions Casterman.

Autres tomes chroniqués :

Tome 1 : Le dernier printemps – Tome 2 : Un été à Paris – Tome 4 : Katarina – Tome 5 : Résistance – Tome 6 : L’Armée indigne – Tome 7 : En finir…