Mercredi, lors d’une balade entre copines dans Le Havre, je suis retournée à la bibliothèque. Cela dit, je n’y ai pas pris grand-chose, et vous montrerai donc les achats effectués ce même jour.
Après un petit tour chez Plein Ciel (librairie-papeterie), où j’ai acheté un livre pour ma maman, que je ne vous montrerai pas, car elle passe par ici, et ne sait pas de quel livre il s’agit, puis chez McDo, et après avoir fait un tour de grande roue, nous sommes donc parties en direction de la librairie-papeterie Au fil des pages. Je devais aller y chercher une commande (mes livres pour la fac), et j’ai aussi craqué pour un autre livre.
Voyons d’abord les livres pour la fac.
Pour le cours de littérature du XVIIe siècle :
Phèdre, de Jean Racine
Théâtre II, de Corneille (dans lequel il faut lire Médée)
Poétique, d’Aristote
Trois discours sur le poème dramatique, de Corneille
Pour le cours de littérature du XVIIIe siècle :
Les Rêveries du promeneur solitaire, de Jean-Jacques Rousseau
Joie en perspective, non ?
J’ai donc aussi craqué pour un autre livre, un peu parce que je souhaitais le découvrir, ainsi que son auteure, depuis longtemps, un peu parce que je le voyais partout, tout le temps, et un peu parce que Lire le monde m’a fait découvrir qu’il existait une édition rouge (avec la tranche rouge également) et que, forcément, c’était trop dur de résister à cette édition spéciale. J’ai nommé Dans le jardin de l’ogre de Leïla Slimani.
Juste après, nous sommes donc allées à la bibliothèque, où j’ai emprunté trois livres.
Les tomes 4 et 5 de Perfect World de Rie Aruga
Un jardin de papier, de Thomas Wharton
Un roman que je ne connaissais pas du tout, que j’ai emprunté pour le lire en janvier dans le cadre de Lire en couleurs. Je débuterai par la couleur rose, je cherchais donc un livre dont le titre ou le nom de l’auteur est écrit en rose, ce qui est le cas d’Un jardin de papier. Ça ne se verra pas sur l’image, malheureusement, car il y a un effet brillant sur le livre qui n’est pas rendu en photo.
Chaque livre a sa propre histoire.
Pour embrasser toutes celles qui fleurissent dans ce Jardin de papier, il faut en raconter plusieurs autres: d’abord celle d’une jeune fille rencontrée dans les ruines d’une librairie de Québec, puis celle de l’imprimeur Nicolas Flood, sommé de créer un livre infini pour satisfaire la lubie du comte d’Ostrov, un excentrique passionné d’énigmes et de mécaniques fantasques. Absorbé tout entier dans la poursuite de cette chimère, Flood entreprend un périple fabuleux qui le mènera de Venise à Alexandrie en passant par Canton et Londres en compagnie de personnages tout droit sortis d’un cirque ou des Mille et Une Nuits: Djinn, un être auréolé de mystère, Ludwig, l’automate, Amphitrite, corsaire à la peau d’ébène, et la jeune Pica, capable de respirer sous l’eau.
Un jardin de papier, c’est aussi une fable à propos des rêves qui inspirent les créateurs. Il appartient au lecteur d’y ajouter sa propre histoire en arpentant les pages de cette romance baroque, truffée de révélations, offerte en hommage au pouvoir de l’imagination.
Voilà pour ces quelques emprunts et achats. En avez-vous lus certains ?
Photo de la bibliothèque prise ici. Elle montre une partie du coin BD/Mangas.
23 décembre 2018 at 20 h 56 min
Moi aussi je serais tentée par « Dans le jardin de l’ogre » car j’avais bien aimé « Chanson douce » de la même auteure.
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23 décembre 2018 at 22 h 07 min
J’ai été tentée par Chanson douce pendant un moment, un peu moins maintenant…
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24 décembre 2018 at 11 h 38 min
Oui, certaines envies de lecture sont éphémères. Je vous souhaite un joyeux réveillon et beau Noël !
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24 décembre 2018 at 12 h 39 min
Merci beaucoup ! À vous également 🙂
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24 décembre 2018 at 16 h 20 min
Merci 🙂
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24 décembre 2018 at 10 h 12 min
Ah La poétique, un souvenir de FAC !!! L’édition de Dans le jardin de l’ogre est à tomber !
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