Un autre abandon. Enfin, disons plutôt une mise de côté. Aujourd’hui, je vous parle de L’homme coquillage d’Asli Erdoğan.

Couverture L'homme coquillage

Ce roman, j’ai eu envie de le lire dès que j’en ai lu le résumé il y a plusieurs mois. J’ai profité de sa disponibilité à la bibliothèque pour l’emprunter. Malheureusement, j’ai décidé de le mettre de côté un peu avant d’arriver à la moitié de l’histoire.

Comme souvent, il ne s’agit pas d’un abandon pur et simple. Je pense que je retenterai la lecture plus tard. Simplement, quand je vois que, malgré une très belle écriture (ou traduction), je n’ai pas envie d’ouvrir le bouquin, la décision s’impose. Il faut aussi dire que je suis en pleine période d’examens, et que ça n’aide pas. 

L’histoire est celle d’une chercheuse en physique qui se rend aux Caraïbes pour un séminaire. Celle-ci s’éloigne un peu du groupe et rencontre un homme au physique particulier surnommé l’Homme Coquillage. Il semblerait qu’une histoire d’amour se dessine.

Semblerait, oui. Car je n’en suis pas arrivée à ce point. Quelque part, ça me rassure, car ça irait trop vite à mon goût. Cependant, le roman étant plutôt court, j’ai peur que tout soit précipité, ce qui n’irait pas non plus. Je ne vous cache pas ma frustration. Je pense pourtant que ce roman cache de très jolies choses. À retenter plus tard !

195 pages. Éditions Actes Sud.

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